Quel bonheur et quelle sensation !

Les vêtements prennent des reliefs, l'icône semble être habitée, les visages, les mains vivent, s’expriment : l’icône est vivante !

Il se crée ensuite une profonde intimité, complicité entre le sujet réalisé et l’iconographe. C’est le moment le plus beau.

Le travail du pinceau posé de très nombreuses fois sur les détails à peaufiner demande beaucoup de patience. Ce sont ces heures de prières et d’intimité passées auprès de l’icône qui la rendent précieuse, sacrée aux yeux des croyants et de ceux qui respectent notre Seigneur Jésus Christ. Sa bénédiction par un prêtre achèvera de la consacrer.

 
  © 2009 Monique Derosne - contact : monique@derosne.be